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    L’humain : la principale faille de la chaîne cybersécurité ?

    L'humain première faille de sécurité - Concept image

    Voici les bonnes pratiques de sécurité pour minimiser les risques cyber, liés au facteur humain. Cela commence par les collaborateurs

    À l’ère des solutions cloud, du télétravail démocratisé, et où l’intelligence artificielle devient un des acteurs des stratégies de cybersécurité, jamais le facteur humain ne s’est imposé comme le principal risque auquel une entreprise se retrouve confronté.

    Malheureusement, ce risque humain est difficilement quantifiable pour l’entreprise et peut donc difficilement être anticipé : il nécessite une approche particulière, basée principalement sur l’éducation et l’information des collaborateurs aux risques auxquels ceux-ci se trouvent exposés dans leur usage des outils digitaux, et auxquels, par conséquent, ils peuvent exposer l’entreprise.

    De quelle manière, donc, rendre responsable chaque collaborateur vis-à-vis de sa propre sécurité et de la sécurité de l’entreprise ? Car un collaborateur qui connait les risques auxquels il est exposé et qui sait comment les éviter peut, a contrario, devenir un véritable atout pour la sécurité de l’entreprise.

    Comment minimiser le risque que représente le facteur humain ?

    En matière de cybersécurité, la plupart des solutions mises en place pour permettre à l’entreprise de contrer les menaces auxquelles celle-ci est exposée sont de deux ordres :

    Néanmoins, force est de constater que l’efficacité de ces solutions se révèle limitée : si le collaborateur n’est pas sensibilisé à ces risques, et qu’il n’est pas formé à les reconnaître et à les déjouer, il ne saura faire face aux attaques les plus courantes, comme par exemple le phishing, par Email ou sur les réseaux sociaux.

    Sensibiliser les collaborateurs aux risques et à la cybersécurité

    La cybersécurité comment par le facteur humain - NXO

    En matière de cybersécurité, donc, un collaborateur informé s’avère être la meilleure parade : il va donc être important d’apporter à chacun une information et une formation concrète et opérationnelle, en fonction des profils et des postes de chacun.

    En effet, en fonction du poste occupé par le collaborateur, le niveau d’accès aux outils digitaux et donc à différents degrés de confidentialité peuvent être très différents : il est donc indispensable de bien identifier les besoins de chaque métier dans l’entreprise et de construire, en regard, des stratégies de sensibilisation adaptées.

    De même, dans une seule et même équipe, les niveaux de compétence peuvent être très différents : la sensibilisation des collaborateurs devra s’adapter à chacun pour pouvoir être véritablement efficace.

    Enfin, il sera essentiel de prioriser les actions en fonction de chaque service, en fonction de leur niveau de criticité.

    Ainsi s’élaborera progressivement une roadmap opérationnelle de déploiement de vos opérations de sensibilisation. Pour autant, au-delà de l’information et de la formation des collaborateurs, il n’y aura réussite qu’à une seule condition : que l’entreprise sache donner du sens à ces opérations de sensibilisation en valorisant le rôle du collaborateur dans la stratégie de cybersécurité globale de l’entreprise.

    Donner du sens, pour placer le collaborateur au centre de la stratégie de cybersécurité

    La sensibilisation et la formation du collaborateur ne peut avoir pour seul objectif d’empêcher le collaborateur de faire des erreurs. Même si la réduction du risque humain est essentielle, celle-ci ne peut être présentée au collaborateur comme le seul objectif du dispositif.

    Il s’avère, en effet, indispensable d’expliquer au collaborateur quelle est la finalité de cette action, et de le valoriser dans le rôle qu’il a à jouer en matière de cybersécurité pour l’entreprise :

    Cette approche, qui valorise le sens, permet au final la meilleure adhésion des équipes, et donc, leur investissement pour que l’entreprise atteigne ses objectifs de cybersécurité. C’est également ce qui peut permettre l’émergence de stratégies de mentorat, afin d’assurer une généralisation des bonnes pratiques au sein de l’entreprise.

    En replaçant l’humain, dans toute sa complexité, au centre de la stratégie de cybersécurité de l’entreprise, celle-ci réussit ainsi sur deux tableaux : non seulement elle parvient à réduire de manière significative le risque lié au facteur humain, mais elle arrive également à faire de la stratégie de cybersécurité non plus un seul sujet pour la DSI, mais un véritable projet collectif. Car si l’humain constitue une faille critique, il n’en reste pas moins le premier facteur d’amélioration des pratiques au quotidien.

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